I déalises-moi comme cette envie que tu as
D ‘être envers et contre tout quand de revers je tombe à genoux
E ternises-toi, figé, à l’intérieur de moi
A chaque fois que l’envie t’en prendra de me rendre la vie
L ‘idéal est cette femme que tu fais de moi
I déalises-moi encore, de mon corps à cette flamme qui brûle en toi
S ouviens-toi de moi comme celle qui se souviendra
E merveillée de nos ébats, ce combat merveilleux pour t’appartenir
S ecrètement, je t’implorerai pour intensément pouvoir y revenir.
M émorables souvenirs que la mémoire se complait à réanimer
O verdose de sensations qu’un frisson aurait raison de se donner
I déal incertain mais convainquant, d’une certitude vaincue à l’idée que l’on s’en fait !
Des cartes.
Il y a 9 ans