visiteurs Compteur pour blog gratuit

lundi 22 décembre 2008

De L’IDEe A L’idée que l’on s’en fait !

I déalises-moi comme cette envie que tu as
D ‘être envers et contre tout quand de revers je tombe à genoux
E ternises-toi, figé, à l’intérieur de moi
A chaque fois que l’envie t’en prendra de me rendre la vie
L ‘idéal est cette femme que tu fais de moi
I déalises-moi encore, de mon corps à cette flamme qui brûle en toi
S ouviens-toi de moi comme celle qui se souviendra
E merveillée de nos ébats, ce combat merveilleux pour t’appartenir
S ecrètement, je t’implorerai pour intensément pouvoir y revenir.

M émorables souvenirs que la mémoire se complait à réanimer
O verdose de sensations qu’un frisson aurait raison de se donner
I déal incertain mais convainquant, d’une certitude vaincue à l’idée que l’on s’en fait !

L’idéal

L’idéal, c’est un peu toi, un peu moi aussi
Mais l’idéal c’est surtout nous deux réunies :
D’avoir construit ce jardin où tu t’épanouies
A ce tendre bonheur d’en récolter les fruits.

Quand l’idéal devient ce chemin
Où tu décides de t’attarder,
La route qui mène à ton destin
T’emmène là où tu as rêvé d’aller.

L’idéal, c’est grâce à toi que je le connais
Il ne serait rien sans ce que tu en as fait :
D’avoir voulu et pu me battre à tes côtés
A cette force que tu auras su partager.

Tu es cette perfection à mes yeux
Qui n’a de cesse de m’émerveiller
Et alors que tu fais de ton mieux
Saches que toute ma vie, je t’aimerai.

L’idéal, c’est un peu toi, un peu moi aussi
De savoir traverser les épreuves de la vie
L’idéal, c’est un peu toi, un peu moi aussi
Mais c’est avant tout l’amour d’une mère pour sa fille.

Douceur et symphonie du cœur

Douceur et symphonie du cœur
Quand tu caresses le bonheur
Je deviens celle qui t’émerveille
Les jours de grands soleils
Qui pourrait croire en toi
Plus que je ne le fais déjà
Reviens moi plus fort encore
Fais chavirer tous les décors
Envahies mon âme et mes sens
Mon cœur ne prendra pas de vacances

Je deviens pour toi celle qu’il te faut
Quand mes lames brisent aussitôt
Le cœur de ceux qui s’approchent de trop

Il y a sept ans déjà

Il y a sept ans déjà
Que tu entrais dans ma vie
Il y a sept ans déjà
Tu devenais ma fille
Aucun moment n’aura été plus beau
Depuis ce jour là
Tu as su être ce très beau cadeau
Qui vivait en moi

Je n’espérais pas tant de la vie
Tu as pourtant su combler celle-ci
Mon amour pour toi a tant grandit
Depuis le jour où sans moi, tu vis

Sombres soleils surgissant au loin
Nous nous réveillerons un matin
Loin de tout ça, loin du chagrin